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Paroles de parents : "Il fallait juste le déclic pour le faire"

Céline M. a 2 enfants, une fille de 9 ans et un petit garçon de 6 ans, qui partent pour la première fois en colo cet été, avec VIVA. Les colonies de vacances, elle connaît ! Elle y est allée petite, puis elle a été animatrice. Mais comme pour toutes les mamans, l’inscription va avec son lot de questionnements. Du côté des parents et du côté des enfants…

 

Quand avez-vous songé à inscrire vos enfants en colonie de vacances ?

Ça fait très longtemps qu’on en a envie. Il fallait juste le déclic pour le faire. J’ai toujours dit que mes enfants feraient des colos, parce que ça veut dire passer de bonnes vacances avec des copains, être autonome, indépendant et apprendre à faire sa petite vie. Comme on dit, « tu pleures quand tu pars et tu pleures quand tu reviens »… On en parle sérieusement depuis 2 ans environ. Cette année on arrête d’en parler, on le fait.

 

Finalement, pourquoi avoir attendu deux ans avant de les inscrire ?

Je crois que je voulais attendre qu’ils grandissent, sans doute un côté « maman poule » pas pressée de faire partir les enfants tout seuls. Mais ça y est, pour cet été, on a dit « c’est comme ça, ça va leur faire du bien, on va faire ça en plus des vacances avec Papy et Mamie ».

 

Que diriez-vous à des parents qui hésitent ?

C’est difficile de convaincre des parents qui n’en ont pas envie. Le plus souvent, c’est juste qu’ils ne sont pas prêts. Tout le monde pourra vous dire que les colos, c’est absolument génial pour les enfants. J’en suis la première convaincue. Reste juste à franchir le cap. Un enfant, une fois qu’il est parti en colo, sauf exception, il a envie d’y retourner. Ce sont les parents qui ont peur de tellement de choses… et ça aide quand on est déjà soi-même parti en colonies de vacances.

 

Comment avez-vous parlé de la colonie de vacances à vos enfants ?

On leur a dit qu’ils partaient. C’était une annonce, pas une proposition. Pour leur expliquer ce que c’était, on a présenté ça comme un centre de loisirs où l’on reste dormir.

 

Comment les enfants ont-ils réagi ?

Ils étaient contents, ils ont tout de suite demandé ce qu’ils allaient faire, quelles seraient les activités. Au fil des jours, j’ai été assaillie de mille questions, principalement sur la vie quotidienne. Ils m’ont demandé de leur décrire le centre, le nombre de lits par chambre, s’il y aurait des lits superposés, les heures du lever et du coucher, comment se dérouleraient leurs journées, est-ce qu’ils pourraient s’habiller comme ils le veulent, et qui s’occuperait d’eux du matin au soir, est-ce que ce serait toujours la même personne ? J’ai essayé de répondre au maximum d’entre elles ! Pour le reste, je leur ai expliqué que ça faisait partie de la colo : ne pas tout savoir à l’avance, la découverte et la surprise.

 

Vous trouvez le moyen de les rassurer ?

Je comprends qu’ils aient peur de l’inconnu, ce sera sans doute comme ça pour les premiers séjours. La grande, par exemple, en ce moment n’a plus très envie de partir, ça va, ça vient. L’important, c’est de continuer d’en parler avec eux, d’écouter leurs questions, d’y prêter attention même si on ne peut pas y répondre intégralement.

 

Est-ce que vous avez des appréhensions particulières ?

Je sais que le départ sera émouvant pour les deux.  Mais je ne suis pas inquiète, ils savent s’adapter et s’intégrer à un groupe. Et pour qu’ils en profitent au maximum, ça dépendra beaucoup de l’animateur(-trice) qui s’occupera d’eux. Pour cette raison, c’est important qu’il soit en petit groupe.

 

Vous les faites partir ensemble, sur le même séjour ?

Oui, ça c’était une évidence depuis le début.  Au moins pour leur premier départ, je voulais qu’ils partent ensemble. C’est le même séjour, mais dans la mesure où ils n’ont pas le même âge, et que c’est une fratrie mixte, ils se croiseront mais ne seront pas constamment ensemble, ils sauront qu’ils ne sont pas tout seuls mais pourront prendre leur indépendance.

 

C’était facile de trouver un séjour qui convienne aux deux sans privilégier les goûts de l’un ou de l’autre ?

Ils avaient tous les deux envie de faire de l’anglais et ils aiment tous les deux faire du sport. Alors oui, on a trouvé un séjour qui correspondait parfaitement à cela (Céline a choisi le séjour « Vacances anglaises » ). Je sais que les deux vont s’y retrouver et s’épanouir dans les activités proposées. S’ils repartent ensuite, ils feront peut-être en revanche des colonies de vacances distinctes, selon leurs goûts respectifs.

 

Pourquoi avoir choisi VIVA ?

J’ai travaillé dans plusieurs organismes de colos en tant qu’animatrice, dont VIVA. Je voulais une colonie où mes enfants seraient bien encadrés, autant au niveau du taux d’encadrement qu’au niveau de la qualité et des compétences des animateurs. Et je sais qu’avec VIVA, ce sera ça : carré et bien encadré.

 

Qu’attendez-vous des animateurs ?

Ayant été animatrice moi-même, je peux juste dire que j’attends d’eux qu’ils fassent leur job correctement. Ils doivent être aussi compétents pour animer les activités et les veillées que pour tous les détails de la vie quotidienne. Ce qui me paraît important, c’est qu’ils soient capables de prendre en compte l’avis des enfants. Car avant d’être là pour respecter un programme, tenir un planning, organiser les activités, les animateurs doivent être là en priorité pour les enfants eux-mêmes et leur bien-être. Ça signifie prendre en considération leurs rythmes, leurs envies, et être attentifs à leurs ressentis. Bien sûr, c’est impossible de s’adapter à chaque enfant, c’est la vie en collectivité et tant mieux, ils sont aussi là pour en faire l’expérience. Mais voilà l’enjeu : trouver le juste équilibre entre cette vie de groupe et l’attention portée à celui qui ne parle pas, qui reste dans son coin…

 

C’est important qu’ils fassent l’expérience de la vie en collectivité ?

Oui, ça leur apprend à devenir un peu autonome, à s’auto-gérer car un animateur, ce n’est ni un papa ni une maman. L’avantage des petits groupes, c’est-à-dire d’un fort taux d’encadrement, c’est que ça compense bien cet effet « collectivité », ça permet de découvrir la vie de groupe dans une atmosphère qui rappelle le cocon familial.

 

Est-ce que vous connaissez beaucoup d’autres parents qui inscrivent leurs enfants en colonie de vacances ?

Non, aucun en fait. Outre le coût qui peut sembler rédhibitoire, j’ai l’impression que pour beaucoup de parents, sans le soutien d’un CE, ils se demandent vers quel organisme se tourner. Même après avoir pris la décision d’envoyer ses enfants, on n’a que peu d’outils pour nous aider à choisir. Moi, j’avais la référence VIVA, mais pour les autres, je ne sais pas comment ils font.

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